Ces deux dames sont nées d'une même mère, On les rencontre partout sur cette terre. Toutes deux provoquent des rassemblements, A ces endroits, jamais le même sentiment.
C'est vrai qu'à cause des deux on coule des larmes, Pour l'une parce que l'on perd un frère d'armes. Pour l'autre parce qu'on accueille un nouveau né, J'espère que de qui je parle vous avez deviné.
Bien sûr je parle de la vie et de la mort! Pourquoi cet air, est ce que j'ai tort? De dire que ces femmes savent bien partager, Car l'une nous prend ce que l'autre a donné.
Félicitant comme vous le faites les docteurs, Et méprisant en tout point les fossoyeurs, Je vous le dis à tous c'est malhonnête, Car chacun fait son job pour avoir sa miette.
