C'était un joyeux luron Que le dernier larron Qui demanda Qu'on le pendît La tête en bas Très bas Si bas Qu'elle fût A la portée De la langue râpeuse Des chats
On accéda Très volontiers A sa demande Mais les chats sont méfiants Ils filèrent à travers champs Et ne revinrent qu'après Que le bonhomme fût dépendu Et son corps enterré Dans la fosse commune De la petite cité