Lorsque le moment venu Il faudra que je te voie De plus près terre glaciale Ouvre-toi Comme une fleur au printemps Puis sans tarder Referme-toi L'air libre ne me convient pas On y sèche malgré soi A l'exception des jours humides Où l'on ne pourrit Pas même à l'abri Des regards indiscrets
Que rien ne vienne Ô fossoyeur Te perturber dans ton labeur Ni les troublions Ni les mouches avides Ni les proches livides Ni les curieux en manque De distraction