Ma ville d’azur éblouissante, resplendissante Qui sonne en mon cœur le destin de mon exil. Tu demeures en mon âme très accueillante.
Ta couleur blanche à mon égard est bienveillante. Dans tes rues, nous avons connu bien des périls. Ma ville d’azur éblouissante, resplendissante.
Derrière tes portes, tes maisons bienfaisantes Où s’exhalent les parfums de fleurs, si subtils. Tu demeures en mon âme très accueillante.
Dans tes rues étroites, tes muses caressantes Nous livrent leurs secrets si intimes et civils. Ma ville d’azur éblouissante, resplendissante.
J’entrevois tes souks aux richesses flamboyantes, Qui poussent leurs visiteurs à de beaux babils. Tu demeures en mon âme très accueillante.
Alger, la si belle, tu reste ma galante; Sans toi, ma vie n’aurait aucun sens, aucun fil. Tu demeures en mon âme très accueillante. Ma ville d’azur éblouissante, resplendissante.