Nos aïeux ont disparu dans les ors du temps. Au fond des archives, ils souffrent de l’oubli, Que le silence des humains a établi. Je ne veux plus demeurer loin d’eux plus longtemps.
J’aspire à leur résurrection sans contretemps. Dans le présent de ma vie, je les rétablis, Car, au loin d’eux, je me sens vraiment affaibli. Je leur offre l’horizon d’un nouveau printemps.
Je réveille leurs belles aventures enfouis. Par leurs événements de vie, je suis conquis. Je fais vibrer ce que nous leur devons : la vie !
Si leurs souffrances nous habitent sans répit, Ils sont sources de résilience sans dépit, Ne faisant venir en moi qu’un seul mot : merci.