Là-bas, la bienveillance sereine s’est tue. L’intelligence s’est dispersée dans le vent. De la connerie, l’humanité s’est vêtue. Souvent !
Ici, je désespère d’un bel avenir Pour les humains si méprisants et discourtois, Dont le discernement se meurt sans prévenir. Parfois !
Là-bas, la musique de la vie s’est éteinte La tendresse plonge, se noie dans les marais. Non, je ne veux pas que s’effleurissent ces étreintes. Jamais !
Ici, je vois bien l’amitié s’épanouir. Je rêve à de belles espérances de secours. Je veux, des actions fleuries, pouvoir me réjouir. Toujours !