Ouille, ouille, où irais-je, que ferais-je sans toi ? Dans mon âme, jailliraient les fleurs de souffrance De ne point demeurer dans ta fidèle alliance. Loin de toi, je demeurerais tant aux abois.
Tant d’être humains se délient de ton emploi. Ils courent derrière des cornes d’abondance Qui ne sont que des illusions sans importance. Loin de toi, l’on connait vraiment le désarroi.
En te fuyant, on croit tant s’être libéré, Faisant ainsi fi des évidences avérées. Bien d’autres considérations sont notre cens.
Il faudrait pourtant te désirer encore plus Et te servir, te sonner tel un angélus, Car tu es un très grand ami, toi le bon sens.