Il vole encore, il s’envole, il chante la vie De ses ailes, il pose sur mes émois sa magie. Par sa grâce égarée, je suis abasourdi. Quand il est au loin, mon âme est à l’agonie.
Je soupire et je quitte ma mélancolie Lorsqu’il paraît devant moi sans effronterie. Un amour fertile naît avec fantaisie, Sa puissance divine fait naître une euphorie.
Il vole encore, il s’envole, il chante la vie. Dans mon ciel étoilé je vois la féérie De mon oiseau empli d’une joie infinie. Ses chants mélodieux deviennent ma liturgie.