Sur le chemin de Noël, je suis apaisé, J’y vois des colombes tournoyer dans le vent. Leurs roucoulades nous ouvrent au temps de l’Avent. J’y suis un enfant, sur son manège, posé.
Le tonnerre, les éclairs y sont délaissés. De l’humilité, je me fais un paravent. De ses aimables détours, je suis le fervent. Ses eaux calmes me murmurent des sons irisés.
Des vallons de l’Avent, jaillissent des musiques M’envoûtant dans une fraîcheur tant édénique. J’entends la voix radieuse d’une vie à naître.
Son murmure enchanteur appelle la bienfaisance Des hommes, et le désir de paix en abondance. Des bienfaits de cet Avent, il faut tout connaître.