Ce poème sous la forme d'une balade est un hommage au responsable communication de l'entreprise que je quitte dans quelques jours pour une retraite bien méritée :
En vérité je vous le dis, sans aucune ombre, Cet homme, rien ne peut l’arrêter et ne l’encombre. Des mots qu’on lui dit, il n’est pas toujours la tombe, Mais le fond de son âme est celui d’une colombe. Il est le seul, l’unique, Frédéric Bézombes !
Ne comptez pas sur lui pour flatter la pénombre, Des mille feux de la lumière, il est du nombre. Comtois, il est, franc tout autant, à toute trombe, Pour tout projet, il ne veut aucune hécatombe. Il est le seul, l’unique, Frédéric Bézombes.
Il peut lui arriver parfois d’être un peu sombre, Mais de cela il n’y jamais de surnombre, Car, in fine, il n’aime pas les catacombes. Du partage, il veut en faire sa belle combe. Il est le seul, l’unique, Frédéric Bézombes.
Princes et princesses qui n’êtes pas d’outre-tombe, Cet homme est le chevalier servant de la marque Qui apprécierait que vous montiez dans sa barque, En évitant de vous comporter en énarques. Il est le seul, l’unique, Frédéric Bézombes.