Il pleure le silence des êtres aimés, Qui, dans la blancheur de mon destin, m’ont laissé. De leurs absences, il se sent vraiment angoissé. Il est mon cœur qui, de la vie, est affamé.
Même si, de cela, il s’est accoutumé, Il demeure, au fil du temps qui passe, blessé. De la peur des souffrances il s’est débarrassé, Pour ouvrir ses pétales à une force pâmée.
Cette énergie, sur mon cœur, est tant descendue Que sur lui de beaux espoirs se sont épandus. Ils sont de mes actions la cascade féconde.
Espérances d’exploits à l’étreinte infinie, Entraînant les maux dans les voies de l’agonie, Laissant un jardin fleuri de joies vagabondes.