Ma maison dort au cœur des troubles qu’elle abhorre. Le coup de stress prend la place du coup de cœur, Il tenaille mon âme avec une grande ardeur. Il me lance des appels d’espoirs bien sonores.
Le coup de blues, né de la tristesse, est l’aurore De la musique qui veut enchâsser l’ampleur De ma détresse dans l’amitié, le bonheur. Mon blues ne s’apprend pas, il vit en météore.
Il s’ancre en moi et me relie à ma maison. Et comme elle, il se penche sur mon horizon. Je le savoure le soir de sa force bouillante.
J’en deviens fou. Il me soumets à l’allégresse. Et s’il m’oublie au quotidien dans la détresse, Alors ma maison est le beau blues qui m’enchante