Que de souvenirs dans les buis de mon enfance, D’eux sonnaient l’approche d’une fête fleurie Sans que je puisse dire : c’est vous que je suis ! Vous fûtes pour moi la source d’une espérance.
Aujourd’hui, l’olivier est dans ma transcendance. Ses rameaux illuminent mes pensées guéries Et m’éloignent des voies de toute idolâtrie. Tu es devant moi et je suis dans ton alliance.
De mon passé, tu chasses toutes les offenses Et je suis ainsi heureux dans ton obédience. Fais voler en moi l’oubli de la mimétique !
Tu es le lien charnel entre ma femme et moi En ce dimanche qui me laisse encore coi. Ses symboles restent en moi toujours authentiques.