Promontoire de calcaire Au pays du granit D’aussi loin que l’on voit Le ciel est sans limite AYEN a fait son choix La beauté se mérite Sur les quatre horizons De la chaîne des Puys Passent de longs mystères Et beaucoup d’infini
Si tu pousses la porte Du Musée des Métiers Tu surprendras tes doigts Caresser les outils Le marteau de la forge L’enclume refroidie Inusables héritiers De notre nostalgie Lorsque la main faisait Ce que dictait l’esprit
Sous la voûte des arbres Les jeudis soirs d’été Au milieu des touristes Tu peux faire ton marché Tables d’hôtes en plein air Paradis des gourmets Où chacun choisit l’autre Dans le même appétit De partager ensemble Un repas du pays
Pour que naissent les rêves Sous le ciel Occitan Par les nuits bleues d’été La lune prête serment D’éclairer cette terre Pour encore cent mille ans Ce n’est pas un hasard Mais le fruit du destin Si l’étoile du Berger Fait escale à AYEN