Derrière la meurtrière brûlante D’une forteresse d’Andalousie Cloîtrée volontaire Par la volonté d’aimer Elle reste prisonnière D’un impossible amour Le miroir du soleil Me renvoie l’éclat de sa beauté Derrière la voilette noire D’une mantille de madone Elle porte loin son regard Vers l’horizon déserté Elle s’appelle Doña Maria J’aurais tellement aimé Etre celui qu’elle attend Dans l’ardente fidélité de son rêve