Des goûts et des modes n’ai cure, je vais, seul, Mon chemin. Referai-je le goût d’un chacun ? Qui n’en a restera, autre me suivra. Qu’un Tel cependant me suive sur sa propre route, Et son ombre me soit guide de mes errances.
Jamais ne fus celui que flot mène à la rive Tel ce bouchon dont le trajet n’est que dérive. N’être que vapeur qui d’océans s’évapore Dans une unique vue liant moindre oxymore ; Et dans ce cadre fixe aux ombres de passages, Je contemple la mer du plus haut des nuages.
Et me prend cette envie de dormir, de mourir, De vomir !