Comment aujourd’hui puis-je parler de chansons D’arbres d’oiseaux quand l’arbre brûle et que le chant Sonne faux Comment puis-je courir dans les champs Quand fume le bitume aux mots des échansons
Vous me direz que cela fut je vous dirai Que cela est Ouvrons les yeux Rien n’a changé Sinon les phrases d’emballage Quel danger Pour le passant qui vaque de son pas distrait
Les yeux bandés il marche au près du précipice Car la main et la voix qui le guident se jouent De ses pieds Et aveugle dans cet exercice
Il abandonne son chemin à celui qu’il Réclame pour son père Qui est le plus fou Dans cette pitrerie qui jouxte le péril.