Passe si tu le veux horloge de mémoire Aucunement tu ne sauras stopper mon cœur Une fois suffira pour écrire l’histoire L’histoire de celui qui rencontra sa sœur Et le reste n’est pas que de mauvais danseur
Baissez vos clameurs et vos cris foules stupides Éteignez vos bougies où se brûlent vos doigts Écoutez simplement comment vaincre les rides Par ce baiser donné sur son sein qui ondoie
Blasé longtemps je fus sur la scène d’Éros Et vint la jouvencelle qui m’offrit son rire Et sous ses yeux mon corps ne fut plus un sac d’os Partir où bat son souffle m’est mon seul désir.