Combien de temps passé à contempler le ciel ? Astronome ou berger, à soulever les voiles Y songèrent nombreux tout en buvant leur fiel. A la paix, au silence infini des étoiles
- Substitués enfin au chaos infernal Dans lequel l’abruti chaque jour se délecte Afin qu’en bordel soit changé le moindre bal, Satisfait de pourrir tous les lieux qu’il infecte ; -
J’aspire ! Et si j’en viens, ainsi chacun de nous, Le temps bientôt sera d’y retourner. Non comme Un machin éthéré devant plier genoux,
Juste offrir aux demains ce qui me fit un homme : Cet amas ordonné, par l’absent architecte, D’atomes éternels que seul l’esprit détecte.