Étoiles de rosée, au cœur de vos oreilles, Dépleurez l’infini du jardin où l’oiseau, De son bec a claqué sa dernière merveille, De son flanc saigné noir son chant de damoiseau.
Sur sa nuque a roulé le sanglot souverain, Le sanglot de cet homme aux pieds d’argile sèche. Le vent emporte-t-il, dans le creux de ses reins, Le souffle et le brasier jusqu’à la fine brèche ?
Quel démon chantera la roche et la vermeille Mer où meurt, gît, mugit, cet air de Rossini Funèbre dans lequel la sapience ensommeille ?
Quand fébrile est la plume, est vive la tempête ! Nulle rature de nature n’est déni ; Seul persiste le pouls du temps qui pulse en tête.