Dirac ! Dirac ! Combien ton équation est belle ! Tu sus trouver simplicité dans le complexe ; A la matière tu donnas sa sœur jumelle. Tes ailes de géant me sidèrent, perplexe.
Du temps, tu sus ouvrir le reflux, son rebours ; Lors le spin de Pauli s’inséra dans ta trame, Pointant son nez taquin en seulement deux tours. Et dans ton champ serein, nul double n’est un drame.
La beauté, sous ton œil, laissa tomber son voile, Et t’indiqua que dut être la masse un pic ; Non un nez, non un cap ! Espérance d’étoile
Qui brille dans le ciel de ton intelligence. Lorsque j’en vois certains crouler sous nombre tics, En d’autres j’apprécie que le monde s’agence.