Quand je serai bien vieux sans aucune chandelle Je rêverai encore encore aux toutes belles En souhaitant de croiser au coin d’une ruelle Une verte mémé pour sauter à marelle
Je lui dirai Ma chère allons au dernier saut En cet endroit si doux en cet endroit si chaud Garder notre secret tout en catimini Dans cette chambre ouverte dite paradis
Et voyez ma belle âme à travers mes paupières Mon regard dans vos yeux se détourner d’hier Que si tremble ma main de nerf ce n’est faiblesse
C’est que tout simplement elle tire la laisse Qui tient mon cœur au bout qui s’emballe pour vous Et vous soit souffle mon baiser qui se dévoue.