La phrase est aussi simple que dire bonjour Que de tendre la main à l’ami de passage De sourire à l’enfant qui promet d’être sage D’aimer la belle qui nous cueille en son séjour
Combien s’avèrent vains parures et atours Quand il suffit de contempler le paysage Nul artifice ne compense le ravage Par l’horloge accompli sur nos tristes contours
Ce qui flatte le cœur tout autant que les yeux Ce qui séduit l’esprit tout autant que l’oreille Est la dérive des nuages dans les cieux
Est du vent la chanson qui rend le patient quiet Pourquoi tordre les mots à en perdre le pied Quand suivre l’évidence apaise notre veille.