Rose, rosie, rosa,tu peux bien rire de moi. Ton parfum envoûtant,voyage dans le temps. Mes yeux voient ta beauté, j’aimerais bien t, effeuillée. Cela ne se fait pas, plumer une fleur, comme ça. Ta grasse et élégance,oblige la distance. J’vais continuer d’rêver,peux pas m’en empêcher. Mais le temps m’aidera,cela est bien comme ça. Car tu es éphémère,tu n’passeras pas hivers. Pétales après pétale,et puis le nu total. De fleur de toute beauté,tu seras dénudée. Oui moi je le voudrais,là je découvrirais. Toute la vérité,avec sincérité. Tu essaimeras la vie,ainsi est la survie. Nous nous retrouverons,en d’autres occasions. Car le printemps prochain,cela n’est que demain. Et je pourrais bientôt,te sentir à nouveau. Et puis te regarder,contempler ta beauté.