Les pantalons luttaient avec les minijupes De sorte que chacun avait ses partisans Les yeux émerveillés, regardant trop souvent Les jambes des filles qui n'étaient pas dupes. Celles, -au pantalon-, étaient très excitantes L'entre jambe moulé ressortait bien la - fente-, Dont les bords arrondis, légèrement gonflés D'une chatte en chaleur nous faisaient tous rêver. Parfois la minijupe n'était pas mal non plus Selon la position de la belle porteuse On avait des visions, plus ou moins trompeuses Mais l'imagination travaillait pour la vue. Et en fait, les -belles-, celles que l'on désire Sont vêtu léger, aux couleurs du printemps, Elles possèdent en elles, la charme innocent Et le sourire moqueur de la tendre Elvire.
