Quand seul dans mes promenades Face à face avec le vent Je compose des sérénades Je suis un poète content. Devenue source inépuisable Tu resteras à tout jamais La plus belle des octosyllabes Telle une déesse au palais. Ma vie a maintenant un sens Et je peux bien te l'expliquer Peine d'amour et de silence, Pour toi, je veux ressusciter. N'écoute pas les ironiques Ne réponds pas aux inflexions Reste la muse électrique, Celle en qui, je, nous croyons.