Ah. ! Les oaristys ! Ah ! Les belles femmes, Quand les cheveux au vent, et le regard chantant, Je venais, ô bien jeune alors troubler leurs âmes, J'étais d'après les dames, un jeune homme charmant... Aujourd'hui, je n'ai plus à répondre présent, Je les laisse maintenant à d'autres prétendants... Elle a les cheveux d'or, et l'azur dans ses yeux, C'est elle que je garde dans mon cœur amoureux Si bien sur elle accepte de me donner la main, Nous ferons tous les deux un grand bout de chemin. Ô Mélodie, la femme à l'amour réchauffant Qui me baise au front, comme un petit-enfant, Douce, tendre, et blonde, sans jamais refuser, Tout ce que mon amour pourra lui apporter...