Les ailes des moulins, portées au gré du vent Tournent la grosse roue écrasant le -froment- Puis le meunier surveille, et alimente en grains La pierre dévoreuse de blé mûr, pour le pain. Le meunier récupère la farine bien blanche Qu'il mettra dans des sacs conçus à cet effet Et s'en ira livrer, bien que ce fût dimanche, Ses clients -boulangers-, des sacs qu'il à fait. Dès le lundi matin, on trouvera le pain Croustillant et doré, qui sort du vieux four Les clientes l'auront pour un demi-florin C'est le prix à payer pour un pain chaque jours. Les ailes des moulins ont fini maintenant, Le progrès ne veut plus, qu'elles tournent dans le vent.