Comme le vol gracieux des oiseaux qui tournoient, Une triste pensée vient s'abattre sur moi Pareil à un feuillage à la saison d'automne Mon cœur se pourvois, quand ce chant qui résonne Comme le bruit des eaux en cascades et torrents Viennent sans avertir troubler les sentiments Que j'avais mis pour toi à l'ombre de mon cœur Et qui sombrent avec, cette idée qui m'effleure. La nuit s'en vînt troubler cette tranquillité Dans un silence morne et une obscurité Ou plus rien, qu'une voix, ô combien languissante Rien, que cette voix me rappelant l'absente Celle qui fût pour moi, mon tout premier amour, Et pour qui mon cœur frissonnera toujours.