Les vagues caressaient les roches de la plage, L'écume se formait, puis repartait au large, Repoussée à nouveau par de plus grands assauts, Les vagues retombaient ou se brisent les eaux. Les marées apportaient à chaque transhumance Coquillages d'airain aux formes étoilés, Les mollusques séchés gardaient leurs apparences Et l'enfant sur le sable allait les ramasser. Les tempêtes du large arrivant jusqu'à elle, Redonnaient chaque fois, aux plages les plus belles, Un aspect lamentable de -dépotoir- géant, N'étant que résidu de l'homme sur l'océan. Notre - mer- nature fait payer chaque année Un lourd tribu à ceux, qui ne l'on respectée.