Et si je te disais mon amour que je t'aime, La lueur de tes yeux ne serait plus la même Ils deviendraient brillants et laisseraient perler Une larme le long de cette joue, rosée... Combien de fois amour, avons-nous pu verser Des larmes sur nos corps à jamais enlacées, Des larmes qui venaient du fond de notre cœur Mais qui pour nous étaient véritable bonheur... Des larmes qui venaient s'ajouter au festin, Que nous faisions amour de nos corps dénudés, Serrés l'un contre l'autre, mais laissant à nos mains, Le soin de parcourir et d'aller rechercher, Pour toi mon tendre amour , le guiseau de ton cœur, Pour moi Ma Mélodie, ta corbeille de fleurs...