La question prend son sens dans la réponse en actes. En vain, l’on peut tourner ses neurones à l’entr’acte.
Sur la fin, il faudra choisir notre destin, Et tant pis si c’est nous que l’on mange au festin ! Nous aurons eu du temps à jeter aux orties, Saoulés de notre orgueil, attendant la sortie…
Dans les bras de la mort, nous irons nous jeter, Etourdis de douleur dans nos corps déjetés.
Lavés de tout bon sens, nos neurones programmés Auront perdu la flamme qui pouvaient tout cramer.
Veaux d’or fossilisés, nous devrons desserrer In fine les étaux, par nous, bien enterrés Et relâcher les rêves qui nous hantaient sans trêve.