Cachez aux grands dieux Ce sac que je ne saurais voir Tu m’en veux tant que cela Mon pseudo-Dieu merdique Tu rigoles dans ta bonté excrémentielle Je te cède ma place Ô souveraineté insignifiante Je te crache mes seaux de merde Sur ton auguste face Je te « garroche » mes bidons d’étrons Sur ta sainte étole brune Couleur de ton cul crotteux Infinis intestins de calice Bouffent le contenu de ces boyaux Jusqu’à changer la couleur De ton aura en urine verdâtre Ô saint chrême de vessie Trou du cul puant et graisseux Lèche-le ad nauséam Durant toute ta merdique éternité Amen