Tant de douceur voilée de frôlements de doigts de serrements battus étranglés, tant de ciels de prés dans la lumière de rires ébréchés, ( le soleil roitelet se souvient-il qu’il pépiait dans le ru ?) – Ô les amours de battage et les batteuses en liesse la peur nuitamment des petits le bois des bêtes sélénites – et tant de trains manqués de bris de voix de verres choqués qui tintent sous le toit, brèches du temps tant de serments tus tant de silences de mots scellés, dans les fêlures jaunies des anciennes faïences.