Au tic-tac sournois l’existence s’abîme, L’horloge sous les mots intime la poésie. Vole, s’enfuit déjà Qui vous prend aux cheveux Le temps de taire un peu la rumeur.
Lors on vole un peu de temps à l’horloge intime, Au tic-tac sournois de l’existence. Qui s’enfuit déjà, La poésie vous prend aux cheveux Pour taire sous les mots la rumeur de l’abîme.