Ni le murmure des chemins Ni le bruissement du soleil Ni le cliquetis des étoiles Le plain-chant de l’azur Ou l’ arpège doux de la pluie, Ni le soupir d’aise des collines Ni le rire des fontaines, Pas plus la trille de mon petit bonheur Que la litanie des grands arbres au soir tombant, Pas même le cri de la lumière au zénith, Ne peuvent étouffer le hurlement du vide Qui enfle derrière ma tête.