Corps à corps amoureux, Sous tes doigts éblouis N’est-ce pas la mort Qui geint et répète ses gammes ? Quel drame se joue Dans ces étreintes mutines ? Qui se rit de qui ? qui de l’amour Ou de la mort ? L’inaccompli se répète avec ces joutes. Aura-t-il raison de ton désir, de ta soif ? Seule certitude : à la fin de l’histoire Tu auras le dernier mot.