Vingt fois par jour, nous regardons ton image, Viens nous rejoindre, sors de ta cage, Ta présence est devenue indispensable, Vivre sans toi est invivable ! Coeurs et corps souffrent de ce triste sort. Même pendant l'acte d'amour, Nous parlons de toi, nous t'immaginons là, Nous rêvons de toi, nous, nous, nous... Nous t'avons dans la tête. Nous aimerions mieux te tenir par la main, T'emmener dans un coin, Et se cacher tous les trois dans la même djellaba, Pour se toucher, se caresser, s'aimer, Se, se, se... se fondre en un.