Les feux de ma géhenne ont ouvert le schéol De l’enfer, et le temps a vendu sa vendange, Tous les échos étaient grisés au terpinol, Subtil et plein d’esprit, une saveur étrange.
Sans bruit tous mes comas valsent avec l’adieu, Ils sont maudits ! Les nuits flottent de solitude ! Le jour revêt l’habit du clair-obscur, pardieu Le sommeil s’est gommé d’une aurore très rude.
Débauché, le secret humain devient l’abscons De mon cœur enfumé de souvenirs, se pâme Le vil triomphateur, et sans contrefaçons Le vertige se vide ou les maux perdent l’âme.
Tout l’éclat s’est noyé dans l’or des rêves noirs, Perdu dans la mémoire, et l’abandon se fige Dans les profonds du sang, éternels désespoirs D’un monde ou dort l’enfer, un ultime vestige.