Un sable semé d’oasis, le cristal d’une vie, Des vers rythmés, un chant, l’évanouissement Des notes de l’esprit, narrative utopie Libertine, ce soir naitra le firmament.
Ton encre est un velours, une tapisserie De verdure, un éclat ciselé, verdoyant ! De flot en flot verbal gagne ma frénésie,
— Entends-tu mon écho sans fin et si fidèle ! Le vent a la fraicheur pénétrante — en errant Je m’endors sur ton rêve en chair qui se démêle.
— Ô mon oaristys ondule en nu nature ! Des vouloirs féminins qui guignent l’avouant Béguin, et d’euphorie, un suave murmure ! L’ambrosiaque suc d’un désir incessant.