―J’ai couru dans les vents des silences perdus Dans les dalles du ciel où le désert sifflote La vie. Je vois tes yeux d’ici, des éperdus Transportée par l’amour, ma douce pensée flotte.
L’artère transversale a transpercé ton cœur Avec mes doigts dorés. Ô mon amour je t’aime Un beau verbe annoncé et voilà ma douceur ! Dieu merci pour cet ange à l’âme qui m’entraîne
Dans un ciel de soie d’or, souffle alors le cristal De mes yeux ingénus, mon été s’enveloppe De son beau délicat ! ― Un soleil conjugal …. ! Polissons sont ses reins et sa beauté me choppe.
Le trou de sa serrure insère ainsi ma clé Rose, né le suprême avec ses fins extrêmes ! Et l’onde du bonheur de nos corps a soupé L’extase de l’amour. S’expriment mes poèmes.