Cette douce lumière qui envahit mon cœur De tendres souvenir d’une douce chaleur Attise mon esprit et me tord de douleur Et jaillit en mon âme étouffée de froideur
Je ne peux plus éteindre en moi ce doux brasier Pas plus que je ne veux oublier ces baisers Echangés en secret en toute liberté Brûlants de notre amour et brûlants de fierté
Immolés volontaire et belle âme damnée Je me suis ô ! ma louve à toi entier donné Mais je ne sais pourquoi je ne peux décider A laisser mon amour entier se dérider
Mon sourire te suit mais à moi se refuse Il ne veut approcher il feinte et fuit et ruse Mais sans cesse condamne mon cœur à s’embraser En pensant aux moments qui se sont envolés.