Adieu les lumières et l’esprit voltairien La liberté, semble de nos jours, galvaudée Las est le peuple, de cette morgue vacuité Soumis à l’aberration de fantoches pantins
Prenons garde et réveillons nos consciences Menons le combat, contre cette tyrannie Armons-nous et marchons contre l’infamie En résistant fièrement, enfants de France
Cessons d’être des marionnettes aliénées Gesticulant au bon vouloir d’une assemblée Des âmes tristes souillées par leurs avanies
Vivre ainsi, ne présage que des tourments Et de ce chaos, craignons le feu et le sang Car la misère, de tout temps, tolère la folie