Une chiure de mouche sur le ciel… ou vent sol-air ?
Les derniers flonflons n’allument nos fenêtres que de carcasses et de pales sueurs
Les ravins ont grandi comme des fleurs austères Ils semblent peu et le font mal encore
Un rire désespère sur la corniche du jour pétri d’impatiences
Il ne faut que la bougie de l’intelligent s’embrume Les clones ont ri parant la vie de crêpe je sourirais bien au dernier clown le grand hallali mais qui fera le cor dans l’Univers enfui ?
L’ornière est sombre y sombre l’envie olé ! je regarde ses petites fesses se tirer à grands cris
La perspective n’est pas classique Certes ! il se trouve que je m’en tape comme de mon premier pape
La terre mange les règles l’aimant de l’en-vie conjugue l’utopie car René Char a dit : « Au XXe siècle l’homme fut au plus bas. »