Encombrées d’échos sous le dégouliné de cette pluie qui étend son accoutumance elles ruminent gutturales entre postillons et crachats Presque barytons qui se gargarisent de rondeurs pusillanimes elles dégorgent ces sons déportés de renflements
engourdies goitres exorbités en plein saumâtre de cet opéra bâtard elles se souillent gargouilles complaisantes
Aguerries guerrières qui culminent en gorges décomplexées sans essoufflement elles gonflent gargantuesques imberbes Quasi tonitruantes avec cette victoire de l’éparpillée romance poussive elles crèvent la nuit alacrité la première Accrochées dilettantes à la ravine pourtant à la moindre clameur suspensive elles dérapent dans l’épurée gluance du silence
en arrondi saturé dégoisement convexe dans ce trop-plein gravidique elles se vautrent vaseuses joufflues jusqu’au rouflaquettes expansées