Parce qu’elle voulait couler ses désirs Dans un bain de plaisirs poussiéreux Dans la pyramide aux quatre vents Vent des eaux de lumière Vent de lumière des eaux Vent du feu des glaces Vent des airs du feu Et vent et vent et vent. Parce qu’elle gémissait sans gémir Dans un coin aux quatre coins Au coin d’une rue aux angles morts Et ses yeux collés sur ses paupières Où aucune larme ne peut parler Et son cou et son nez et sa bouche Et l’ombre d’un parfum violent Se terre sous ses bras dévêtus. Parce qu’elle l’aurait aimer sans l’aimer Il l’aurait tant aimer et aimer et aimer.