Pour la gloire d’un poème, je mis ton Nom, Au dernier vers sacré, pour raison de chute… Afin que vibre, haut et fort ! le chant de tes luttes… ; Tu en rêvas, tu les fis, sonnant le clairon !
« Créol’ lèves toi, Créol’ lèves toi, très vite… , Créol’ lèves toi, Créol’ lèves toi, encor… , » Sans peur, ni reproche ! malgré le mauvais sors… Que Schoelcher en précurseur, lava d’eau bénite…,
A ta lèvre, une sève… inonda l’Affranchi… Jusqu’aux racines, blanchies ! par… le Saint Esprit ! En mémoire à l’Ancêtre de nombreux rivages…
Et le Bébé grandit, sous l’aile du pardon… De son Pas assagit, au rythme du clairon ! Qui « aima ces airs » !, pour y sonner le Message …