Comme houles d’une mer, aux crêtes éphémères ! O immense Etendue ! Souffle Eole sur l’or De ta parure… Créant, toujours et encor ! D’infinis paysages… soyeux de lumière…
Où nul ne s’aventure sans risque et sans eau, Qu’avec seul confort : « l’espérance miragée, » Tu lèches les cieux de tes dunes assoiffées, Qu’un soleil mystique surchauffe avec brio…
Qui piège l’intrus. Confesses à ciel ouvert… Confortes les sages aux portes du sublime, Quand l’âme des lieus transcende des abimes.
Où caravanes, nomades et dromadaires, Depuis l’aube des temps épousent solitaires, Sinueuses arrêtes, signées… : désert.