Jeune homme ! Quand sur Aurélie vos yeux se posent, Scintillants comme l’étoile au cœur de la nuit, Caressent les formes d’un corps épanoui, Le mouillant d’une bruine que l’instant propose,
Pensez-vous…à notre jardin fleurit de roses…, Dont les épines vous causeraient des ennuis…, Tant l’impatience de votre égo ébloui, Rêve de ce charme que ma fille vous pose ?...
Pensez-vous…à l’amour…qui inspira Platon, Lorsqu’une âme contemple, belle mer tranquille, Dans l’infini mystère d’un corps juvénile ? ;
Le regard est un livre, aux reflets d’horizons Divers… imprégné de secrets, que le cœur sonde… Et mérite le bonheur… qui lui corresponde…