Les pavés du diable de l’enfer du nord, Sentiers battus qu’acheminent en farandole, Des hommes blindés épris d’aventures folles, Souvent inondés à l’approche de leur port…
Foncent en héros, dans la boue ou la poussière ! Pralinant les visages de surnaturel… Ne laissant apparaître que les yeux au ciel ! ; Pour cadeaux, pieusement, la douleur en trière…
Les chutes, fractures, glissades, sont du jour… Pleurent ! bien mal en pis renfourchent leurs machines ! ; Quand crevaisons, bris quelconques, les éliminent…
Seul, deux, en petits groupes, sautillent toujours ! Ces grognards en campagne, aux ailes méritoires, Se feront du premier au dernier, leur victoire !